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nursing

exam mi-session

QuestionAnswer
Chapitre sur le Cheval
1. ANAMNÈSE
avant de débuter l’examen physique :
▪ la race, le sexe (pour le mâle : hongre ou étalon) et l’âge;
▪ l’alimentation de l’animal : le type, la quantité donnée et la fréquence des repas;
▪ les comportements alimentaire et d’abreuvement;
▪ l’état de son fumier et de ses urines (la qualité, la quantité et la fréquence);
▪ le statut de vaccination et de vermifugation;
▪ la raison principale de l’examen;
▪ le début des signes cliniques;
▪ la progression des signes
2. ENVIRONNEMENT
Vérifier : la ventilation, température, taux d’humidité, la litière, l’espace réservé aux animaux, la propreté des lieux et des animaux.
3. EXAMEN DE L’ANIMAL À DISTANCE
observé au repos, à une courte distance, avant d’en faire l’examen physique complet. permet de révéler un certain nombre de paramètres :
 respiration
▪ ses états mental et physique
▪ le caractère de l’animal (doux et coopératif ou excité/nerveux et non-coopératif, voire agressif);
▪ son état de chair;
4. EXAMEN PHYSIQUE
A) EXAMEN CAUDAL
Prise température :entre 37 et 38 °C. supérieure à 38,5 °C= fièvre ou canicule.
B) EXAMEN DU CÔTÉ GAUCHE
1. AUSCULTATION ABDOMINALE
Dans la fosse paralombaire, pour la partie supérieure, et entre la dernière côte et le genou, pour la partie inférieure. L’auscultation du système digestif le côlon= bruit d’un papier =péristaltisme intestinal. l’auscultation en quatre quadrants : flanc g
2. AUSCULTATION CARDIAQUE
Entre 30 et 50 pulsations par minute. Attention aux bruits intestinaux.
3. AUSCULTATION PULMONAIRE
Entre 10 et 30 respirations par minute. Le cycle respiratoire : 3 phases d’égales durées : l’inspiration, l’expiration et une pause. Une augmentation de durée de la phase inspiratoire= suggère problème des voies respiratoires supérieures (trachée, pharynx
4. EXAMEN DU COU
On examine la gouttière jugulaire pour identifier présence d’obstruction, dilatation, pouls au niveau de la veine jugulaire. Évalue l’état d’hydratation et vérifie si masses ou blessures a/n du cou.
C) EXAMEN DE LA TÊTE
D) EXAMEN DU CÔTÉ DROIT
seule différence= quadrant supérieur-entendre bruit du rumen des bovins=contraction du caecum du cheval.
E) EXAMEN DES MEMBRES
1. visualisation sur place, marche, trot (conformation, posture, démarche, masse, blessure, enflure, rougeur).
8) PALPATION TRANSRECTALE
Lors de problèmes reproducteur, digestif ou lors de maladies non spécifiques. Voici ce qui devrait être examiné.
Tractus génital :
vagin et col utérin; corps utérin; cornes utérines; ovaires; oviductes et bourses ovariques.
Côlon :courbure pelvienne du côlon ascendant gauche et petit côlon; position; distension ou non; bande de tension; consistance de son contenu.
Vessie : palpable seulement si elle est pleine. Le rein gauche est aussi palpable. Aorte et artères iliaques :pouls.
Nœuds lymphatiques iliaques : position; inflammation.
9) SITES D’INJECTION ET DE PRÉLÈVEMENTS CHEZ LES CHEVAUX
A) INJECTIONS (I.M.)
1. MUSCLES DE LA CUISSE (SEMI-TENDINEUX, SEMI-MEMBRANEUX)
2. TRICEPS
3. MUSCLES DU COU
B) INJECTIONS (S.C.)= thoracique et cervicale
C) INJECTIONS OU PRÉLÈVEMENTS INTRAVEINEUX (I.V.)= veine jugulaire
10. ANATOMIE DU MEMBRE THORACIQUE ET PELVIEN
Marche sur leurs 3e phalanges.
Chapitre sur la vache
Les bovins-2 grands groupes selon utilité :
Bovins laitiers : production lait (Holstein, Jersey et Suisse brune)
Bovins de boucherie : production de viande. (Hereford, Simmental, Charolais.)
1. COMPORTEMENT
Laitiers :plus pacifiques que les bovins de boucherie. vaches adultes (lorsque manipulées fréquemment) calmes, curieux et timides.
2. MOYENS DE DÉFENSE
Rue (côté/arrière).foncer avec sa tête. Si cornes,tendance à s’en servir pour se défendre.
3. ANAMNÈSE
Avant de débuter l’examen physique de la vache :
▪ la race, le sexe (castré ou non pour le mâle) et l’âge;
▪ le statut reproductif et de lactation;
▪ la production laitière (quantité et qualité);
▪ l’alimentation de l’animal : le type, la quantité donnée et la fréquence des repas;
4. ENVIRONNEMENT
Vérifier ventilation, température, taux d’humidité, qualité de l’air, la litière, l’espace réservé aux animaux, la propreté des lieux et des animaux.
5. EXAMEN DE L’ANIMAL À DISTANCE
Observé au repos (courte distance) avant l’examen complet. permet de révéler un certain nombre de paramètres :
▪ ses états mental et physique
▪ le caractère de l’animal
▪ sa forme abdominale (gonflé, émacié, etc.);
▪ la rumination;
▪ la présence de fumier ou d’urine;
▪ la présence de nourriture devant l’animal ou dans son enclos.
6. APPROCHE SÉCURITAIRE DE L’ANIMAL
toucher (ischion), Se placer du côté de son dos si elle est couchée, PAS du côté des membres postérieurs.Position sécuritaire=collé contre son abdomen. permet de sentir si la vache veut faire un mouvement.
7. EXAMEN PHYSIQUE
Complet/systématique. Ensuite= l’examen du système mammaire et palpation transrectale.
A) EXAMEN CAUDAL
Prise de la température : entre 38 et 39 °C. Une température supérieure à 39,5 °C= fièvre ou canicule. Toujours comparer avec les autres vaches autour (qualité et quantité).
B) EXAMEN DU CÔTÉ GAUCHE
1. AUSCULTATION DU RUMEN
côté gauche dans la fosse paralombaire. L’auscultation du rumen= bruit tonnerre-environ 2-4 fois par minute.
2. PERCUSSION DE LA CAVITÉ ABDOMINALE GAUCHE
« Pichenottes » sur le flanc et la cage thoracique de l’animal, entre les côtes en auscultant . Bruit métallique =suggestive déplacement de la caillette. La région auscultée s’étend du centre de la fosse paralombaire jusqu’aux environs du coude.
3. AUSCULTATION CARDIAQUE
Entre 40 et 80 pulsations par minute. Attention aux bruits du rumen.
4. AUSCULTATION PULMONAIRE
Entre 10 et 30 respirations par minute.
5. EXAMEN DU COU
On examine la gouttière jugulaire évalue l’état d’hydratation.
6. TEST DU GARROT
pousse fermement contre le garrot avec son genou a/n du sternum. La présence d’un inconfort aigu signifie la présence probable d’un corps étranger de nature métallique (clou, bout de broche) dans le réseau
C) EXAMEN DIGESTIF DU CÔTÉ DROIT
La percussion de la cavité abdominale droite ( « ping ») permet de rechercher la présence d’organes digestifs déplacés. Du côté droit, il peut s’agir de la caillette ou du caecum.
D) EXAMEN DE LA GLANDE MAMMAIRE
Regarder et palper chacun des quartiers-texture ferme et souple : spongieuse. Noter la propreté, asymétrie, enflure, rougeur, chaleur, douleur. Suspition mammite=examen visuel des sécrétions mammaires (lait) provenant de ce quartier+comparaison. Utiliser
7. PALPATION TRANSRECTALE
Voici ce qui devrait être examiné :
Tractus génital : col; corps utérin; cornes utérines; ovaires; oviductes et bourses ovariques.
Rumen : position; consistance de son contenu; distension ou non. Rein gauche : situé à droite du rumen sur la ligne médiale; Forme (lobules du rein palpables), grosseur, douleur.
Vessie : palpable seulement si elle est pleine, elle couvre alors l’utérus.
Aorte et artères iliaques : pouls.
Nœuds lymphatique iliaque : position; inflammation.
8. SITES D’INJECTION ET DE PRÉLÈVEMENTS CHEZ LES BOVINS
A) (I.M.) = muscles fessiers, muscle de la cuisse, triceps et muscle du cou
B) (S.C.) = thoracique et cervicale
C) INJECTIONS OU PRÉLÈVEMENTS INTRAVEINEUX (I.V.) = veine coccygienne, jugulaire, mammaire
9. PRATIQUES D’ÉLEVAGE
Écorner/décorner enlever définitivement les cornes (prévenir la pousse).
Ébourgeonner : Pratique jusqu’à 2 mois d’âge visant à prévenir la pousse des cornes.
Acère : Se dit d’un bovin qui naît sans corne (caractère héréditaire dominant).
L’ébourgeonnage se fait de routine-premières semaines de vie. Une anesthésie locale (lido 2%) du nerf cornual est fait, l’on introduit ventralement à la crête temporale de l’os frontal. L’outil utilisé pour cette technique est le fer à brûler, préalableme
A) TRAYONS SURNUMÉRAIRES
Procéder à l’excision de ceux-ci.
B) HERNIE OMBILICALE, OMPHALITE ET PERSISTANCE DU CANAL DE L’OURAQUE
L’omphalite=infection +/- sévère du nombril s’exprimant sous forme d’un abcès= tx atb. Tout comme l’omphalite, la hernie ombilicale=condition courante affectant les veaux naissants= fermeture incomplète du muscle droit de l’abdomen, entraînant la formatio
C) CASTRATION DES MÂLES
Devrait être faite dans les premières semaines de sa vie. La meilleure technique=l’apposition d’un élastique à la base de son scrotum. Elle est non-invasive et relativement peu douloureuse.
Chapitre sur le système mammaire
1. RÉVISION ANATOMIQUE
Holstein=10 000 à 15 000 L/année.
dépression divise les deux moitiés du pis: c’est le sillon inter-mammaire. Chaque moitié de pis comprend un quartier crânial et un quartier caudal, qui est plus développé. Il n’y a pas de séparation visible entre les deux glandes d’un même côté, cependant
Les alvéoles glandulaires représentent les principales structures de la production laitière. De nombreux petits conduits excréteurs qui partent des alvéoles, convergent pour former des conduits plus importants, soit les canaux lactifères, qui vont aller s
La vascularisation du pis est très développée. Toutes les composantes du lait que produit la vache (eau, gras, protéines, lactose, minéraux, vitamines) proviennent de son sang, donc de son alimentation. Le volume sanguin du pis d’une vache en lactation re
2. LA LACTATION ET LA TRAITE
La mise-bas vaches laitières= production laitière continue jusqu’au tarissement. 1er vêlage=deux ans .La traite débute après le vêlage. Le colostrum+lait de transition sont recueillis/donnés au veau pendant 3-5 premiers jours. Par la suite, le lait, redev
3. TRAYON(S) SURNUMÉRAIRE(S) (HYPERTHÉLIE)
Est héréditaire. Moins développé que le trayon fonctionnel-est lié ou non au tissu glandulaire de la glande sur laquelle il se trouve (donc, du lait peut en sortir ou non). Pour des raisons fonctionnelles, mais aussi esthétiques, les trayons surnuméraires
4. TRAUMA DU CONDUIT PAPILLAIRE (ÉCRASEMENT DU TRAYON)
Fréquent en stabulation entravée trop étroite-lacération de la muqueuse du conduit papillaire du trayon/même de son sinus=entraîne inflammation. Réaction=accumulation de tissu inflammatoire (fibrine)-va venir obstruer le conduit, empêchant la lactation no
5. AUTRES PATHOLOGIES DU TRAYON
Gerçures dues à l’humidité et au stress mécanique de la traite (ou de la tétée). Le temps froid=favorise les gerçures des trayons. Il peut porter des masses diverses (nodule, papule, pustule, vésicule). Attention, si ces dernières sont douloureuses, sous
6. LA MAMMITE
La mammite=inflammation de la glande mammaire-origine infectieuse qui altère sa structure et sa fonction.
La mammite est en fait la plus coûteuse des maladies qui affectent la vache laitière. Les pertes économiques résultent des points suivants :
▪ le lait rejeté, baisse prod. Laitière, utilisation médicaments, frais véto, surplus de travail, réforme hâtive, perte d’animaux.
En plus de la quantité/qualité du lait produit est altérée par la mammite; il y a baisse du lactose, gras et caséine. Cependant, augmentation chlorure de sodium (goût salé), pH, acides gras libres (goût rance) et des cellules somatiques (globules blancs).
Lait non mammiteux= - de 121 000 bactéries/ml et - de 400 000 cellules somatiques/ml . Les producteurs laitiers visent habituellement un taux de cellules somatiques annuel moyen =200 milles cellules somatiques/ml pour leur troupeau.
A) FACTEURS PRÉDISPOSANTS
Entrée de micro-organismes infectieux dans son pis. Ces facteurs peuvent être regroupés en quatre catégories (animal, environnement, équipement de traite, technique de traite) :
▪ la conformation et la structure du trayon, la lacération ou le trauma du trayon, la malpropreté des animaux et de leurs glandes mammaires, la présence de fumier en excès, l’équipement de traite inadéquat , la technique de traite inadéquate .
B) LES SIGNES CLINIQUES
Quatre classes de mammites :
Subclinique aucun signe clinique n’est visible (seul le CCS est augmenté);
Clinique bénigne (grade 1) apparence du lait est modifiée : présence grumeaux ;cas de mammites cliniques sont les plus communs
Clinique modérée(grade 2) apparence du lait est modifiée et la glande mammaire est anormale à l’examen visuel.
Clinique sévère ou toxique (grade 3) apparence du lait est modifiée sous forme aqueuse +/- jaunâtre, parfois teintée de fibrine et la glande mammaire est anormale et l’animal démontre des signes systémiques légers à sévères (abattement, anorexie, diarrhée
La mammite sévère peut être gangréneuse. Mammite extrêmement maligne, souvent mortelle, survient en période d’immunosuppression, fréquemment lors du vêlage ou du premier mois postpartum. La bactérie impliquée est Staphylococcus aureus via l’excrétion de s
C) DIAGNOSTIC
Évaluer l’apparence du pis. Ensuite palpation glande affectée, en comparant avec glandes saines. Douloureuse, plus chaude, plus froide, texture ferme? Ensuite traire le quartier suspect pour en évaluer l’apparence du lait. Si aucun signe clinique local n
Cette identification bactérienne est essentielle=orienter le traitement=permet d’utiliser les antibiotiques adéquats, voire de ne pas les utiliser du tout, afin de minimiser la probabilité résidus médicamenteux dans consommation humain ainsi que les chanc
D) MODES DE TRANSMISSION ET PRINCIPAUX AGENTS INFECTIEUX IMPLIQUÉS
Quatre classes de mammites sont regroupées sous deux catégories selon la source de la contamination.
Contagieux : Transmission d’une vache à l’autre se fait lors de la traite, via la trayeuse, les serviettes utilisées pour nettoyer le pis des vaches ou les mains des trayeurs.
Environnementale : le sol, la litière, le fumier, les plantes, l’eau, sur la peau des vaches. Leur élimination complète est donc impossible.
1. STAPHYLOCOCCUS AUREUS (subclinique)
Contagieuse Gram +
Tx difficile-problème chronique
Bactérie produit toxines (pénicillinases) qui s’attaquent à certains antibiotiques, elle survit dans les macrophages et elle forme des micro-abcès dans lesquelles elle s’enfouit.
Pronostic très réservé
2. STREPTOCOCCUS AGALACTIAE(subclinique)
Contagieuse Gram +
Infections de courte durée (elles ne sont pas chroniques)
Faciles à éradiquer et à contrôler
3. Streptococcus dysgalactiae et Streptococcus uberis (70 %cliniques, aigües, bénignes à modérées/30% subcliniques et chroniques)
Environnementales Gram +
Ces infections sub/chron contagieuses et non plus environnementales : elles se transmettent de vache à vache durant la traite.
Tx= répond bien
4. ESCHERICHIA COLI, KLEBSIELLA SPP. ET ENTEROBACTER SPP. (Coliformes)
Environnementales Gram –
90% des mammites cliniques sévères et aigües (glande mammaire enflée/rouge/douloureuse/chaude/beaucoup moins productive; lait aqueux et jaunâtre, teinté de fibrine; signes systémiques +/- sévères, choc endotoxique possible, hypocalcémie possible, mortalit
Tx endotoxémie (traitement de support)
5. TRUEPERELLA PYOGENES
environnementale Gram + //Pâturage humide
mammite clinique modérée/aigüe=entraîne signes systémiques (elle peut donc être sévère [et plutôt virulente]). Le quartier affecté est détruit avec la formation d’abcès qui vont aboutir. Le lait excrété par ce même quartier sera très épais/purulent/malodo
Tx impossible.
6. LEVURES
Le lait contient grumeaux fins et a une apparence blanche/transparente; seul signe clinique présent, sinon note enflure/induration de la glande mammaire.
Tx= essayer 3-4 atb sur plus de 3 jours=sans succès
Levure installe, car destruction flore intestinale.
7. MYCOPLASMA BOVIS (subclinique ou chronique)
Très contagieuse/résistante. Vit sur les muqueuses de l’appareil respiratoire supérieur et de la glande mammaire des animaux infectés.
Environnementale
Tx=réformation.
8. PROTOTHECA SPP.
Algues microscopiques retrouvées dans des environnements humides/souillés de matières organiques (boue, fumier).
La mammite en cause sera chronique, souvent subclinique
Son diagnostic en laboratoire bactériologique est difficile.
Aucun tx : la réforme est fortement recommandée.
E) THÉRAPEUTIQUE ET PRÉVENTION/CONTRÔLE
Les traitements peuvent être locaux et systémiques : Traite fréquente, Antibiothérapie, Traitement de support.
prévention/contrôle de mammites impliquent : maintien d’un environnement confortable, propre/sec, bonne régie de la traite, équipement de traite intègre/bon état de fonctionnement, des animaux en santé, propres/secs, particulièrement au niveau de leurs gl
7. MALADIES MÉTABOLIQUES RELIÉES À LA PRODUCTION LAITIÈRE
A) FIÈVRE VITULAIRE (FIÈVRE DU LAIT, PARÉSIE DE PARTURITION)
Maladie aigüe; parfois être suraigüe (mort rapide avec peu ou pas de signes cliniques préalables). Peut-être subclinique. Elle survient à la suite d’une hypocalcémie soudaine en période péri partum.
Les vaches touchées;fortes productrices plus âgées (troisième lactation et plus), possible chez jeunes sujettes.
Les signes cliniques se divisent en 3 étapes.
1 ère étape : anorexie, ataxie
2 e étape : décubitus sternal
3e étape : décubitus latéral, comateuse, ballonnement, mort dans les quelques heures qui suivent s’il n’y a pas de traitement.
Le tx rapide après que la maladie a été reconnue. Une solution de calcium intraveineuse. Attention, calcium=toxique pour le myocarde : possibilité d’arythmie sévère/arrêt cardiaque si administré trop rapidement (en moins de dix minutes) et sans suivi du c
Vache est très lourde, si couché trop longtemps sur un côté, très grand risque de paralysie.
B) ACÉTONÉMIE
Survient chez la vache laitière dans les six premières semaines suivant la parturition.
Une hypoglycémie
Les signes cliniques : l’abattement, de l’anorexie, un fumier sec, chute de la production laitière.
Peut-être subclinique
Lipidose hépatique (foie gras).
L’acétonémie peut être primaire sans aucune complication (type 1), liée à une lipidose hépatique (type 2) ou secondaire à une maladie concomitante (déplacement de la caillette, métrite, mammite, etc.).
Les signes cliniques suivants :
Anorexie graduelle, Perte de poids rapide (graisse);Baisse au lait modérée, Fèces (comme crottin), Signes nerveux: semble aveugle, poussée au mur, mâchonne ou lèche les objets environnants ou dans le vide; les corps cétoniques intoxiquent le cerveau.
Tx= glucose IV, propylène glycole PO, glucocorticoïdes IM/IV.
Système digestif volet 1
Les préestomacs (rumen, réseau, feuillet) des bovins et le côlon du cheval, éléments particuliers de l’anatomie et de la physiologie du système digestif des herbivores.
Pré-estomac c'est jamais vide!!!!
1. L’aérophagie (tic à l’air, tic à l’appui, « cribbing »).--- avale de l'air, rote, repeat
2. Le tic du pica.-- gruger du bois, sable---usée les dents, bloquage de l'estomac des fois assez important. Px faire des coliques.
3. Le tic à l’ours (balancement, « weaving »).-- Balance d'un côté à l'autre--tic nerveux—ennui
C) LA DENTITION
Mâle--présence de canine Femelle-- pas de canine
Les dents de loup (PM1) sont souvent présentes chez le mâle et plus rarement chez la femelle. Première prémolaire maxillaire. Plus petite. Le cheval peut avoir une à quatre dents de loup.
Puisqu’elles peuvent interférer avec le mors menant à de l’inconfort ou à des blessures dans la gueule du cheval, il n’est pas inhabituel de faire l’extraction des dents de loup Vers 1 ans ½.
pinces (P) au milieu Mitoyennes (M) côté coins (C) extrême
HYPSODONTE= les dents poussent en continu toute leur vie.
Évaluation de l’âge selon les signes dentaires
1. Le rasement consiste en la suppression de la cavité de la dent pour voir apparaître le cément.
2. L’apparition de l’étoile dentaire a lieu l’année qui suit le rasement de la dent alors que sa véritable présence est notée une année après son apparition soit deux ans après le rasement. Il s’agit de l’apparition de la dentine secondaire en direction d
3. Le nivellement se définit par la suppression de l’émail central et de son cément interne. Ne demeurent que la dentine primaire et la secondaire qui va alors occuper de plus en plus de place au fur et à mesure que le cheval vieillit.
4. L’angulation des arcades incisives. Elle forme un angle droit (90°) dans le jeune âge pour augmenter et devenir à 180° chez un très vieux cheval.
5. L’arrivée à la table, l’arrivée de la dent au contact de son opposée (mandibulaire-maxillaire) pendant l’occlusion. Elle a lieu environ six mois après l’éruption de chaque dent
6. Le changement de forme. L’usure de l’incisive gagne au fur et à mesure qu’elle s’use des régions de plus en plus rapprochées de la racine. La table dentaire montre donc successivement toutes les sections transversales de l’incisive. Elle passe ainsi p
2. RUMINANTS
Pas d’incisives supérieures, bourrelet dentaire, qui donne appui aux incisives inférieures. Brachyodontes : incisives qui ne poussent pu...Absence de canines, l’espace formant le diastème est relativement long. Ceci permet l’insertion de votre main à cet
3. PORC
Les dents sont en général de type brachyodonte sauf pour les canines du verrat qui ont une croissance continue. À la naissance, les coins de lait ainsi que les canines ont déjà fait irruption et sont très pointues. Les porcelets blessent les mamelons de l
Les canines de verrats sont hypsodontes et portent le nom de « crocs » ou « défenses ».
D) MASTICATION ET DÉGLUTITION
L’ensemble des mouvements de la mâchoire, langue, joues entraîne la dissection de la nourriture végétale.
La mastication des herbivores est surtout assurée par le jeu de dents appropriées au broyage : les prémolaires et molaires.
Chez le cheval, mouvements de mâchoires= formation d’arêtes (aspérités dentaires)=blessent joues/langue=difficulté à manger.
mastication : primaire et secondaire=Consiste à fragmenter les aliments grossièrement à la suite de leur préhension et à les avaler une première fois. La mastication secondaire : survient après une régurgitation d’ingesta ayant macéré dans le rumen. Assur
La rumination permet à l’animal d’ingurgiter rapidement de grandes quantités d’aliments puis d’en terminer la mastication plus tard.
La vache adulte rumine autour de 8 heures par jour. Mieux attaquées par leur flore digestive (bactéries et protozoaires), mais elle amène aussi une forte production de salive par le ruminant, jusqu’à 150 litres quotidiennement.
Cette salive possède un pH basique de 6-6.5. Dû à sa forte concentration en bicarbonates. Tamponnant le pH du rumen qui tend à s’acidifier sous l’effet de la fermentation des aliments qui s’y déroule. Le pH ruminal : près de la neutralité. plus acide chez
2. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE GASTRIQUES DES RUMINANTS
Les herbivores (polygastriques et monogastriques). (Représentant 70 à 75% du volume total du tractus digestif). Le gros côlon/cheval, chez le bovin cette fermentation se fait dans sa portion crâniale, dans les préestomacs.
Rumen (panse), le réseau (réticulum) et le feuillet (omasum), l’estomac du bovin porte le nom de caillette (abomasum).
Bactéries et de protozoaires. Sous l’effet du péristaltisme, une certaine digestion mécanique s’y poursuit également par le frottement de l’ingesta contre leurs parois qui sont parsemées de papilles plus ou moins importantes.
Les micro-organismes vont attaquer les végétaux ingérés par l’animal. Afin de les dégrader et de les transformer en nutriments qu’il peut assimiler pour combler ses besoins.
Le processus digestif des chevaux dépend très majoritairement de leur flore microbienne, celui des ruminants, presqu’entièrement.
A) DÉVELOPPEMENT
Naissance, seule la caillette (abomasum) est très développée. Les trois autres compartiments sont à l’état rudimentaire : le jeune veau est un « monogastrique physiologique ». Le lait, lorsqu’absorbé, prend le chemin de l’œsophage jusqu’au cardia où il se
Au fur et à mesure que la ration fibreuse prend de l’importance dans l’alimentation du veau, les préestomacs vont se développer alors que la gouttière œsophagienne va être de moins en moins sollicitée pour finalement devenir inactive lors du sevrage.
B) FONCTIONNEMENT
Les contractions des préestomacs débutent dans le jeune âge pour ne jamais cesser tout au long de l’existence du ruminant hormis lors de pathologies qui peuvent affecter ce système
Les aliments peu denses, fibreux et volumineux (foin) séjournent environ cinq jours dans les préestomacs alors que les aliments denses, plus fins et peu fibreux (grains et ensilage) y séjournent entre un à deux jours
Les corps étrangers de densité élevée (clous, broches, boulons, vis… aimant, etc.) ingérés par les bovins, qui n’ont que très peu de papilles gustatives, vont se retrouver directement dans le réseau, qui est situé tout juste sous le cardia. Ils y demeuren
Il existe trois types de motricité au niveau du réseau-rumen (base, rumination, éructation) une au niveau de l’omasum et une dernière à l’abomasum
1. MOTRICITÉ DE BASE ET ANATOMIE DU RÉSEAU-RUMEN
Le rumen occupe la majeure partie gauche de l’abdomen, très musculaire.
Le rumen se divise en deux par un sillon longitudinal extérieurement en un sac dorsal et un sac ventral. Chaque sac contient un cul-de-sac caudal et un crânial. Le cul-de-sac dorso-crânial se nomme atrium du rumen (ou sac crânial) et vient en contact avec
Le réseau est le plus petit des compartiments gastriques.
Sa muqueuse est soulevée en crêtes qui s’anastomosent pour former des cellules semblables à celles d’une ruche d’abeilles. La muqueuse du rumen est pour sa part parsemée de grandes papilles filiformes.
La motricité de base du réseau-rumen se poursuit 24 heures par jour avec certaines modifications : la fréquence des contractions musculaires augmente lors de la prise de nourriture et diminue lors des périodes de sommeil.
Cette mécanique digestive permet le brassage des aliments, des micro-organismes, de la salive et des autres fluides.
Le tout est optimisé par les papilles et les crêtes des muqueuses du réseau-rumen qui augmentent leur surface de contact avec l’ingesta.
2. MOTRICITÉ DE RUMINATION
Son but est de réduire en particules plus fines les aliments contenus dans le rumen, par une nouvelle mastication et insalivation.
Les quatre phases :
La régurgitation, la remastication, la ré insalivation et la redéglutition
Lorsqu’une vache est malade, peu importe que la cause soit digestive ou extra-digestive, les contractions du réseau-rumen et la rumination cessent.
3. MOTRICITÉ D’ÉRUCTATION
Lors de la fermentation, il y a une grande production de gaz (dioxyde de carbone [CO2] et méthane [CH4]). Ces gaz s’accumulent en portion dorsale du rumen
Évacuation via l’œsophage. Une petite partie de ces gaz est aussi éliminée en traversant la paroi du rumen pour cheminer via le système sanguin. Le méthane sanguin est éliminé via les poumons lors de l’expiration.
Si le cardia est incapable de se libérer de l’ingesta ou s’il y a présence de mousse, il y a alors incapacité d’éructation et gonflement du réseau-rumen qui peut entraîner la mort de l’animal (par pression sur les poumons via le diaphragme, donc par asphy
4. MOTRICITÉ ET ANATOMIE OMASALES
Le feuillet (omasum)
Le feuillet est un organe très dense dont l’intérieur est presque entièrement occupé par de hautes lames placées les unes contre les autres, à la manière d’un livre
Il compresse l’ingesta et en retire l’eau et les électrolytes, tout en réduisant la grosseur de certaines particules qu’il contient.
Les contractions du corps du feuillet sont moins fréquentes que celles du rumen et sont indépendantes; de même, chaque lame du feuillet possède sa propre motricité.
5. MOTRICITÉ ET ANATOMIE ABOMASALES
La caillette (abomasum)
Dernier compartiment gastrique des ruminants. Elle est le véritable estomac: enzymatique. En forme de gourde
Suspendue entre le petit omentum (épiploon), qui s’attache à la petite courbure, et le grand omentum, inséré sur toute la grande courbure, c’est de loin le plus mobile des quatre compartiments gastriques.
La caillette s’acquitte des mêmes fonctions que l’estomac des animaux monogastriques, soit : la sécrétion d’acide chlorhydrique (HCl) et de pepsinogène, le brassage et le transit de l’ingesta. Il n’y a aucune dégradation mécanique, ni aucune digestion mic
3. PROCESSUS DE DIGESTION CHEZ LES RUMINANTS
A) DIGESTION MICROBIENNE | PRÉESTOMACS |
Conçu pour la digestion de la cellulose
La vache dépend presqu’entièrement de la flore microbienne (microbiote) de ses préestomacs. Cette dernière fermente (métabolisme anaérobique) les plantes et les transforme en éléments nutritifs que la vache peut absorber pour combler ses besoins.
La flore microbienne : pH avoisinant 6 à 6.5.
Les glucides dégradés en molécules de glucose par les bactéries et protozoaires puis fermentés en acides gras volatils (AGV) : absorbés par la paroi du rumen.
L’acide propionique (propionate), l’acide acétique (acétate) et l’acide butyrique (butyrate) sont les trois AGV produits par la fermentation.
Les AGV représentent la principale source d’énergie : ; ils lui fournissent 60 à 90 % de ses besoins énergétiques après avoir été retransformés en glucose (et en gras) au niveau du foie.
La présence adéquate de fibres est importante pour la bonne digestion des ruminants. Elles activent la rumination et la production de salive qui agit comme tampon avec un pH de 8.
Une alimentation peu fibreuse, trop riche en amidon et autres sucres hautement fermentescibles entraînera l’acidification du pH ruminal, la modification de sa flore microbienne et la diminution de la production des AGV au profit de l’acide lactique
Elle souffrira alors d’une indigestion par acidose : subclinique à mortelle
Les protéines : pratiquement toutes dégradées en ammoniac (NH3)
Utilisé par les bactéries et les protozoaires pour métaboliser de nouveaux acides aminés complètement différents de ceux ingérés par la vache.
Servent à produire de nouvelles protéines (dites bactériennes) qui seront utilisées par les bactéries les ayant synthétisées (entre autres pour se diviser) ou qui seront excrétées
Protéines de haute qualité n’est pas nécessaire dans l’alimentation des vaches
Supplémenter des diètes pauvres en protéines : l’urée (CO (NH2)2), un sous-produit de l’ammoniac
A vache utilise sa propre urée produite au foie
C) DIGESTION ENZYMATIQUE | CAILLETTE |
La muqueuse de la caillette sécrète du pepsinogène ainsi que de l’acide chlorhydrique (s’unissant pour former la pepsine) contribuant à la dégradation des protéines qui s’y retrouvent. Son milieu est acide avec un pH oscillant entre1.3 et 5. Ce pH acide f
5. PRINCIPALES MALADIES CLINIQUES DU SYSTÈME DIGESTIF DES BOVINS
A) ACTINOMYCOSE (LUMPYJAW)
Maladie bactérienne
La formation progressive d’un abcès granulomateux au niveau de la mâchoire inférieure ou supérieure. La bactérie pénètre la muqueuse buccale par une lésion causée par un objet tranchant ou par l’alvéole dentaire lors de la perte des dents
L’abcès a l’apparence d’une tumeur, il infiltre partie de l’os des mâchoires et il porte des fistules laissant échapper un pus granuleux blanc jaunâtre.
Traitement : habituellement infructueux.
B) RÉTICULO-PÉRITONITE TRAUMATIQUE
Un corps étranger pointu (clou, broche, brin de métal) entraînant une péritonite locale ou diffuse (plus rarement) selon le traumatisme
Si l’objet traverse le diaphragme, il perfore le péricarde. On verra alors apparaître des signes de péricardite (traumatique).
La prévention de cette condition se fait par l’administration d’un aimant, chez les taures, autour de l’âge d’un an
C) INDIGESTION PAR ACIDOSE
Ingestion d’une trop grande quantité de grains (hydrates de carbone), 10 à 20 kg, en un court laps de temps. La fermentation ne poursuit pas son cours normal dû à cette surcharge. Bactérie ruminal gram +
Ceci entraîne une baisse importante du pH du rumen, qui se retrouve égal ou inférieur à 5. Cette acidité du rumen entraîne : des lésions épithéliale (ruminite) permettant le passage de toxines et de bactéries dans le sang, une disparition de la flore du r
L’atteinte peut être bénigne et ressembler à une simple indigestion, elle peut être modérée ou sévère.
Tx=Vidanger le rumen de son contenu
D) INDIGESTION SPUMEUSE (TYMPANISME RUMINAL PRIMAIRE)
Production et stabilisation d’une mousse dans le rumen à la suite d’une ingestion d’une quantité trop grande de légumineuses ou d’herbes, survenue en un court laps de temps. Un pâturage couvert d’une rosée ou d’une gelée matinale peut aussi être en cause.
Cette condition peut causer de la détresse respiratoire due à la trop grande pression du rumen sur les poumons. Il s’agit d’une urgence vétérinaire.
Peut aussi être dû : obstruction de l’œsophage par un corps étranger (patate, pomme), sa sténose ou sa compression de l’extérieur par une masse (abcès, tumeur). Ces dernières empêchent la vache d’éructer convenablement ses surplus de gaz ruminaux, ce qui
Indigestion par acidose ou à un choc anaphylactique peut aussi développer du tympanisme ruminal secondaire à ces conditions.
Un bovin qui reste couché en position latérale pendant une trop longue période risque aussi de souffrir de tympanisme ruminal secondaire.
Si l’animal est accidentellement pris en position couchée sur le dos, il peut mourir de tympanisme ruminal secondaire.
E) LE DÉPLACEMENT DE LA CAILLETTE
Vaches laitières
: le déplacement à gauche (incidence très élevée), la distension à droite (incidence moyenne) et le volvulus à droite
Ça fait PING PING PING lors de pichnotement!!!
Les facteurs prédisposants : atonie de la caillette, augmentation de la présence de gaz dans la caillette, e maladie concomitante, . Le « vide abdominal » causé par la parturition est aussi un facteur de prédisposition à ce déplacement, tout comme la géné
Anorexie marquée, chute drastique de la production laitière, déshydratation, tachycardie, hypothermie, faiblesse, coma, mort si l’animal n’est pas opéré en dedans de 48 à 72 heures. La mort survient à la suite du choc, à la déshydratation sévère et à la d
F) DYSENTERIE D’HIVER
Cette diarrhée infectieuse
Propagation rapide et généralisée
Causée par un coronavirus. Toute condition de stress favorise l’apparition de cette maladie.
Signes cliniques :
Diarrhée liquide, baisse au lait marquée, légère perte de poids, possibilité de mortalité à la suite d’une déshydratation, Parfois de la toux.
Éviter la déshydratation
G) DIARRHÉE À VIRUS (B.V.D.)
Virale contagieuse potentiellement mortelle
C’est un pestivirus qui en est la cause : compliquée par d’autres virus et bactéries.
La maladie peut être de type épidémique : ou endémique
Les signes cliniques sont :
Fièvre
Diarrhée liquide profuse
Toux et décharges nasales
Érosion des muqueuses de la bouche;
Mortalité rapide
Avortement ou nouveau-né souffrant de malformation
Tx=Traitement de support
H) DIARRHÉES NÉONATALES DU VEAU
Escherichia coli.
Rotavirus et le coronavirus
Protozoaire communément impliqué est Cryptosporidium parvum.
Les signes cliniques sont de la diarrhée, déshydratation, faiblesse et la mort
Traitement de support
Created by: lara.amber
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