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Physiopathologie
Uronéphrologie - Pathologies
| Question | Answer |
|---|---|
| Chapitre 13- Compartiments liquidiens - Pathologies | |
| L'hyponatrémie est plus rare que l'hypernatrémie? (V/F) | Faux |
| Les principales manifestations cliniques des dysnatrémies sont de nature neurologique? (V/F) | Vrai |
| À partir de quelle valeur de la natrémie est définie l'hyponatrémie? | 135 mmol/L |
| Quels sont les deux mécanismes à l'origine d'une hyponatrémie? | Perte de sodium ou rétention d'eau |
| Quelle famille de diurétiques est la plus souvent responsable d'hyponatrémie? | Thiazides |
| À partir de quelle valeur de la natrémie est définie l'hypernatrémie? | 145 mmol/L |
| Quels sont les deux mécanismes à l'origine d'une hypernatrémie? | Rétention de sodium ou perte d'eau |
| Quelle est la différence entre diabète insipide central et néphrogénique? | Central: Défaut de synthèse, Néphrogénique: incapacité de répondre à l'hormone antidiurétique |
| Quel est le nom (sigle uniquement) du principe actif des comprimés d'ecstasy? | MDMA |
| Quels sont les effets à court terme de la consommation d'ecstasy? | Général: hyperthermie, déshydratation / Cardio: hypertension artérielle, tachycardie / Digestifs: nausées, vomissements, diarrhé, perte d'appétit / Neuropsychologique: insomnie / Autres: bruxisme, mydriase, dysfonction érectile |
| Quels sont les effets à moyen terme de la consommation d'ecstasy? | Généraux: fatigue / Digestifs: parte d'appétit / Neuropsychologiques: insomnie, irritabilité, troubles amnésiques / Autres: trismus, anhédonie |
| Quels sont les effets à long terme de la consommation d'ecstasy? | Neuropsychologiques: Lésions des voies sérotoninergiques, réduction de densité de certaines régions de substances grises, troubles mnésiques, troubles du sommeil, dépression, anxiété |
| L'ecstasy est-il tératogène? Si oui, sur quel(s) organe(s)? | Oui, le coeur et le système nerveux |
| Citer trois familles de médicaments avec lesquels interagit l'ecstasy. | Sérotoninergique, IMAO, anti-rétroviraux |
| Quels sont les signes d'une overdose majeure d'ecstasy? | Généraux: hyperthermie, déshydratation, hyponatrémie / Cardio: hypertension ou hypotension artérielle / Urinaires: insuffisance rénale / Neuropsychologiques: hémorragie intracrânienne, convulsions, coma, oedème cérébral / Respiratoire: SDRA |
| En combien de temps après ingestion est atteinte le pic plasmatique d'ecstasy? | 90 min - 3h |
| L'ecstasy est totalement métabolisé par le foie? (V/F) | Faux (80%) |
| Chapitre 14 - Filtration glomérulaire - Pathologies | |
| Quelles sont les principales manifestations d'une glomérulopathie? | Hématurie, protéinurie, pyurie |
| L'hématurie causée par une glomérulopathie est-elle plus souvent microscopique ou macroscopique? | Microscopique |
| Une protéinurie peut-elle être bénigne, si oui, dans quelles situations? | Oui, fièvre, efforts physiques intense, apnée du sommeil |
| Qu'appele-t-on protéinurie non sélective? | Albumine et d'autres protéines sériques dans l'urine |
| Quelles sont les 6 classes de glomérulopathies, et citer un exemple de chacune d'elle. | Syndrome néphritique aigus (néphropathie à IgA), Syndrome réno-pulmonaire (syndrome de GOODPASTURE), Syndrome néphrotique |
| Suite | Syndrome vasculaire glomérulaire (néphropathie hypertensive), Syndrome associé à des maladies infectieuses (glomérulonéphrite post-streptococcique), Syndrome avec atteinte de la membrane basale (syndrome d'ALPORT) |
| Définition de la néphropathie à IgA. | Néphropathie caractérisée par un dépôt d'IgA dans le mésangium |
| Quelles sont les caractéristiques de l'hématurie provoquée par une néphropathie à IgA? | Macroscopique (parfois micro-), Suite à un épisode infectieux non spécifique (surtout des voies respiratoires supérieure), persiste quelques jours |
| La néphropathie à IgA est de très mauvais pronostic? (V/F) | Faux |
| Quelles sont les principales manifestations du syndrome néphrotique? | Protéinurie élevée, Hématurie microscopique, Hypoalbuminémie, Hypercholestérolémie, Oedèmes, Hypertension artérielle |
| Pourquoi la protéinurie observée lors d'un syndrome néphrotique ne peut-elle pas être attribuée à une pathologie rénale tubulaire? | car la protéinurie est > 3,5 g/ 24h, donc ce ne peut pas être une protéinurie tubulaire, car elle ne dépasse jamais 2g/ 24h |
| Connaître les principales caractéristiques des lésions glomérulaires minimes. | Enfant plus qu'adulte, +++ protéinurie, éthiologie incertaine |
| Connaître les principales caractéristiques de la hyalinose segmentaire et focale. | 1/3 des syndromes néphrotiques de l'adulte, lésions glomérulaires surtout à la jonction corticomédullaire |
| Connaître les principales caractéristiques de la glomérulonéphrite extramenbraneuse. | 1/3 des syndromes néphrotiques de l'adulte, épaississement de la membrane basale avec dépôts d'IgG et de C3, souvent associé à d'autres pathologies (néoplasiques, infectieuses ou rhumatologiques) |
| Chapitre 15 - Sécrétion et réabsorption tubulaires - Pathologies | |
| Connaître les 5 familles de diurétiques, leur site d'action, et savoir donner un exemple de chacune des familles. (famille = site, exemple) | Osmotiques = tube proximal et branche descendante fine de l'anse de HENLÉ, mannitol / De l'anse = branche ascendante large de l'anse de HENLÉ, furosémide / Thiazides et apparentés = tube distal, hydrochlorothiazide ou métolazone |
| Suite | Épargneur de potassium = tube jonctionnel et tubes collecteurs, spironolactone / Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique = tube proximal, acétazolamide |
| Définition d'une néphropathie tubulo-interstitielle. | Atteinte primitive des tubes rénaux et de l'interstitium, sans lésion glomérulaire majeure |
| Une néphropathie tubulo-interstitielle est toujours aigüe? (V/F) | Faux |
| Citer les 3 étiologies principales de néphropathie tubulo-interstitielle aigüe et donner des exemples pour chaque étiologie. | Médicaments (antibiotique (B-lactamines)), Infection (bactérienne (strep)), Maladie auto-immune (syndrome de SJÖGREN) |
| Citer les 3 étiologies principales d'une néphropathie tubulo-interstitielle chronique. | Reflux vésico-uréthral, Médicaments et toxiques, Métaboliques |
| Le lithium est indiqué pour le traitement de quelle maladie? | Psychose maniaco-dépressive |
| Où trouve-t-on de l'acide aristolochique? | Traitement amaigrissant traditionnel chinois à base d'herbes |
| L'hypokaliémie prolongée peut être cause de néphropathie tubulo-interstitielle chronique? (V/F) | Vrai |
| Chapitre 16 - Régulation de l'équilibre acidobasique - Pathologies | |
| Une acidose est toujours d'origine ventilatoire? (V/F) | Faux |
| Acidose et alcalose peuvent coexister chez un patient? (V/F) | Vrai |
| Une compensation (ventilatoire ou métabolique) à un déséquilibre acidobasique (métabolique ou ventilatoire) permet à peu près toujours de ramener à un pH normal? (V/F) | Faux (pas l'alcalose ventilatoire chronique) |
| À partir de quelle valeur une hyperkaliémie met-elle le pronostic vital en jeu? | > 6,0 mM/L |
| Un pH < 7,4 et une Pco2 < 40 mmHg caractérisent une acidose ventilatoire? (V/F) | Faux ( Pco2 > 40 mmHg) |
| Un asthme sévère peut être cause d'acidose ventilatoire? (V/F) | Vrai |
| L'ingestion de méthanol peut être la cause d'acidose ventilatoire? (V/F) | Faux (acidose métabolique) |
| Un pH < 7,4 et une concentration en HCO3 < 24 mEq/L caractérisent une acidose métabolique? (V/F) | Vrai |
| La Pco2 est inférieure à 40 mmHg lors d'une alcalose ventilatoire non compensée? (V/F) | Vrai |
| Une psychose peut être responsable d'une alcalose métabolique? (V/F) | Faux (alcalose ventilatoire) |
| Un pH > 7,4 et une concentration en HCO3 < 24 mEq/L caractérisent une alcalose métabolique? (V/F) | Faux |
| Quel trouble de l'équilibre acidobasique peut être dit à trou anionique élevé? | Acidose métabolique |
| Comment se calcule la valeur du trou anionique? | Na - ( Cl + HCO3 ) |
| Une acidose est dite hyperchlorémique si elle est à trou anionique élevé? (V/F) | Faux (normochlorémique) |
| Connaître les trois valeurs apparaissant sur le nomogramme de DAVENPORT, et savoir utiliser celui-ci. | La concentration en HCO3, le pH et la Pression du CO2 Acidose vs alcalose = voir pH / ventilatoire si anormalité et compensation ont même PaCO2 / Métabolique si anormalité et compensation on la même concentration HCO3 |
| Chapitre 17 - Miction - Pathologies | |
| Quels sont les trois types d'incontinence urinaire? | Incontinence d'effort, d'impériosité et de regorgement |
| En quoi consiste l'incontinence d'effort? | Incapacité des dispositifs sphinctériques à demeurer hermétiques lors d'augmentation soudaine de la pression intra-abdominale |
| Citer les principales étiologies de l'incontinence d'effort. | Femme: Faiblesse des muscles du plancher pelvien et hormonothérapie post-ménauposique / Homme: Antécédents de chirurgie prostatique |
| En quoi consiste l'incontinence par impériosité et à quoi est-elle liée? | Sensation soudaine de besoin d'uriner et incapacité à y surseoir / Due à une hyperactivité du détrosur |
| En quoi consiste l'incontinence par regorgement et à quoi est-elle liée? | Perte urinaire goutte à goutte / Due à une hypo-activité du détrusor |
| Quelles sont les principales étiologies de l'incontinence par regorgement? | Femme: Cystocèle et diabète / Homme: Hypertrophie prostatique et diabète |